Prison du meurtrier des pumas et de la faune

Cette personne chasse en toute impunité les animaux sauvages de la faune argentine, menacés de disparition et protégés par les lois en vigueur en matière de conservation de la faune nationale.

Cet être méprisable tue des animaux uniquement pour sa propre satisfaction cruelle et par perversité .

Ce faisant, non seulement il enfreint les lois sur la protection des animaux, action punissable d'après la loi nationale 14.346, mais, en outre, il se rend responsabe lde la mise en ligne de vidéos de torture animale, odieuses et sadiques sur les  réseaux sociaux Internet , se présentant comme "un chasseur courageux" avec des photos des animaux qu'il a tués et de ses lâches complices.

On pense que cetodieux personnag qui peut tuer n'importe quel animal traversant la route en toute impunité, estime pouvoir torturer quelle que bête que ce soit  pour s'amuser à sa guise.

Les photos et vidéos de ces meurtres et de la torture d'animaux ont été publiées par lui sur son compte Facebook, mais en raison du nombre de plaintes de protectionnistes et de personnes qui aiment les animaux, cet être lâche a effacé son compte social.

Certaines ONG de protection animale ont pu enregistrer les photos et vidéos de ce meurtrier comme preuve pour leur condamnation pénale avant que'il ne les supprime. Ces photos montrent des animaux cruellement assassinés tels que des pumas, de grands oiseaux, des cerfs, des tatous, etc., ainsi qu’une vidéo aberrante dans laquelle on dirait que cet être dégoûtant tue un couguar, le faisant torturer par une meute de chiens qui le déchirent vivant.

Ce monstre et ses complices, qui n'étaient pas encore identifiés , doivent payer pour ce qu'ils ont fait à des animaux sans défense, car ils ont enfreint de nombreuses lois sur la conservation des espècesde la faune indigène argentine.

Les photos de ce criminel circulent sur Internet ainsi que les visages de ses complices, notamment au sein du réseau social Facebook.

Nous demandons au pouvoir judiciaire de la province de Catamarca et au comité de protection de la faune de cette ville et de l’ensemble de l’Argentine de condamner à la peine maximale d’un an de prison ce criminel, qui s’amuse en provoquant la souffrance d’autres êtres vivants impuissants contre le sadisme de ce psychopathe.

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